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Le Nikon D3200 succède au réussi D3100, à peine une année après son introduction, avec des nouveautés attendues, comme un écran composé de 921 000 points et une surprise de taille : un capteur 24 Mpx APS-C jusqu'alors réservé aux modèles haut de gamme.

S’il y a un détail qui trahit le penchant « amateur » du boîtier du D3200, c’est du côté de son ergonomie qu’il faut chercher et plus particulièrement de sa visée optique un peu étriquée. Elle est héritée du D3100 et ne couvre que 95% de l’image effectivement capturée par l’appareil. Pour un cadrage au cordeau, il vaudra mieux passer sur la visée LiveView si l’on veut s’épargner d’avoir à recadrer sa photo par la suite. Cependant, le D3200 offre un mode « retouche » simple et ludique qui permettra de faire cette opération directement sur l’appareil. Nous avons remarqué une chromie bien approximative de l’affichage LiveView.
Proposé couramment à moins de 500 euros en kit avec le Nikkor 18-55mm, le D3200 présente un rapport performances/nikon d3200 prix particulièrement intéressant. Les offres promotionnelles sur le matériel Nikon permettent de trouver le D3200 à moins de 450 euros en kit, une belle affaire.
Concernant la gestion du bruit électronique, le D3200 offre de belles images sans grain jusqu'à 400 ISO. Le moutonnement fait son apparition à 800 ISO, mais il est fin et peu gênant. La montée du grain est ensuite progressive à 1600 et 3200 ISO. Comme souvent avec Nikon, le bruit de luminance est visible, mais le grain reste fin et le bruit de chrominance reste vraiment imperceptible. A 6400 ISO, le moutonnement est bien visible et il y a un vrai changement qualitatif de l'image. Le mode Hi-1 (12800 ISO) est également dégradé, mais la haute définition offre un grain également très fin et offre la possibilité de réaliser des tirages même à cette sensibilité ISO.



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